Château et jardin

27 mars 2007

Château et jardin de La Ballue

Véritable labyrinthe de surprises, ce jardin manièriste est une interprétation contemporaine des jardins italiens de XVIe siècle. Créé dans les années '70 par l'architecte futuriste, Paul Maymont, et par François Hébert-Stevens sur une idée de l'éditeur Claude Arthaud, il mêle art topiaire, objets architecturaux et scultures contemporaines. dans un esprit baroque et intimiste. Il se compose d'une suite de chambres de verdure où la végétation s'organise en rang serré. Aucune symétrie, aucune règle précise n'interviennent dans le cheminement du visiteur, mais treize surprises l'attendent au détour des nombreuses allées. Parmi celles-ci, le jardin mouvementé peuplé de boules taillées d'ifs et de buis, de houx en demi-tiges, de topiaires. Le bosquet des senteurs planté d'espèces odoriférantes telles que la sarriette, le romarin, la sauge, le jasmin, la lavande. Le bosquet à musique, salle formée de cyprès permettant d'écouter le chant des oiseaux, les bruit de la nature.

http://www.parcsetjardins.fr/bretagne/ille_et_vilaine/jardins_du_chateau_de_la_ballue-9.html

http://www.chateau-la-ballue-bazouges-la-perouse.federal-hotel.com/

English : http://www.la-ballue.com/vd6/home2.asp

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Château et parc de Bouges

http://www.jardins-de-france.com/jardins/jardin.asp?idjardin=BOUGES

English : http://www.chateaux-france.com/bougeslechateau/

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Le parc du château de Bouges retrace l'histoire des jardins du XVe au XVIIIe siècle à travers trois jardins conçus par le célèbre paysagiste, Achille Duchêne.

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Le jardin bouquetier, composé d'un bassin décoratif, de quatre espaces entourés de buis taillés et d'une promenade périphèrique, acceuille des bandes de fleurs à couper et des fleurs annuelles, dont une belle collection de dahlias devant la grande serre. Celles-ci servent à la composition hebdomadaire des bouquets du château.

Au nord de ce premier jardin, une broderie de buis et des ifs taillés en cône (photo ci-dessus - 1999) encadrent un jardin à la française. L'effet de terrasse, créé par cet aménagement, permet une belle échappée sur le parc et sur le bassin aménagé en son sein. Il est orné d'une statue d'Hercule attribuée à Jean de Bologne. Tilleuls taillés, parterres engazonnés, topiaires en perspectives, ce parc paysager offre des proportions particulièrement bien équilibrée.

Le jardin à l'anglaise enfin, s'étend sur 80 hectares. On peut y admirer des arbres aux diverses essences. Tulipiers, chênes rouges d'Amérique, liquidambars, berbéridacées et sumacs reflétent dans un étang de quatre hectares allimenté par un ruisseau.

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Château de Saint-Loup-sur-Thouet

http://www.chateaudesaint-loup.com/orangerie.html

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Sur un site de 50 hectares qui fait, depuis 1992, l'objet d'une gigantesque réhabilitation dans un esprit du XVIIIe siècle... (photo : 1999)

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Derrière le château s'étend le potager d'un hectare et demi où l'on peut admirer 648 arbres fruitiers, dont 48 variétés de poirier disposés en gobelet ou en espalier le long du mur d'enceinte.

La cour de l'Orangerie, quant à elle, retrouve sa fonction première en accueillant, à la belle saison, plants d"agrumes provenant d'Asie du Sud-Est et plantes gélives d'origines méditerranéennes. Les plantations sont effectuées suivant les techniques horticole du XVIIIe siècle. Comme jadis, elles serviront à la production des parfums, des liqueurs, d'huiles essentielles, de confitures, et de fruits confis.

Face à l'Orangerie, un portail s'ouvre sur un second jardin baptisé "Jardin aux fleurs". Un ordonnancement vertical et rigoureux pour un endroits où étaient cultivées les fleurs destinées à décorer les nombreuses pièces du château.

Dans un troisième enclos s'épanouissent figuiers et grenadiers de différentes variétés. Dans le verger se côtoient quelque dix espèces de fruitiers (amandiers, poiriers, pommiers, pruniers, cerosiers, pêchers, abricotiers, néfliers, cognassiers), dont 75 variétés anciennes, souvent disparues.

A voir encore : le jardins des simples, le jardin bouquetier ou encore les broderies de buis...

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Château de Villeprévost

http://www.coeur-de-france.com/villeprevost.html

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Créé par amour pour une femme, en 1756, le parc du château de Villeprévost présente une rigueur et un classissisme digne des jardins de Le Nôtre (photo : 1999)

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Charles Le Juge demanda à un jardinier de Versailles de dessiner ce parc de manière que, au soir du 15 août, fête de sa femme Marie, le soleil se couche dans l'axe de la grande allée centrale. Celle-ci est toujours là...

Partant du porche, une ligne droite traverse une cour d'honneur composée de quatre carrés de pelouse, dits "boulingrins". Ceux-ci sont bordés de buis, d'ifs taillés et de massifs de fleurs. En prolongement, on découvre un tapis vert orné de vases Médicis, puis la fameuse allée du 15 août.

A travers les vieux charmes taillés en voûte, les massifs forestiers, les bancs en pierre bordant les allées disposées en étoiles, c'est tout l'art du jardin du XVIIIe siècle que l'on redécouvre.

En janvier-février, les perce-neige tapissent les allées et les sous-bois.

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